Mon plan sexe en forêt avec Gisèle, ma collègue trans mature du Havre

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Lorsque j’ai commencé mon nouvel emploi, je ne m’attendais pas à rencontrer quelqu’un comme Gisèle. Tout s’est passé dans le cadre classique d’un bureau, sans rien de particulièrement extraordinaire, au moins au début. C’était mon premier jour, et j’essayais de me familiariser avec les visages, les noms et les habitudes de chacun. À la comptabilité, Gisèle était la figure imposante. Avec son allure soignée, son tailleur impeccablement ajusté, ses cheveux grisonnants relevés en un chignon sophistiqué, et cette assurance tranquille, elle imposait le respect sans le demander. Je ne savais pas que j’avais à faire à une femme transsexuelle du Havre

Elle devait avoir autour de la cinquantaine, et il y avait chez elle un mélange d’élégance et de maturité qui la rendait instantanément captivante. Ce qui m’a le plus frappé, c’était son regard : un mélange de douceur et d’autorité, comme si elle pouvait lire au travers de chacun. Nous avons rapidement échangé quelques mots, alors qu’elle m’expliquait quelques détails liés aux procédures administratives. Je me suis retrouvé étrangement attiré par cette femme qui semblait en contrôle de tout, mais qui souriait d’une manière qui trahissait une sensibilité bien cachée.

Les premiers jours passés, j’ai pris l’habitude de croiser Gisèle plus régulièrement. À la cantine, un midi, c’est elle qui m’a proposé de venir m’asseoir à sa table. Nous avons discuté de tout et de rien, de la banalité du quotidien au boulot, puis de choses plus personnelles. Elle m’a parlé de sa passion pour la nature et les longues balades en forêt. Je l’écoutais, presque fasciné. Il y avait quelque chose de mystérieux chez elle, une profondeur que je ne m’attendais pas à trouver.

C’est après ce premier repas ensemble qu’elle m’a proposé de l’accompagner faire des courses. Nous avons continué à discuter dans les rayons du supermarché, elle choisissant avec soin ses produits, et moi la suivant, profitant de la conversation. C’était naturel, fluide. Elle me parlait de ses habitudes, et moi de mes petites manies, et au fur et à mesure, je me rendais compte que je me sentais bien en sa compagnie. Elle m’intriguait, et cette intrigue commençait à se transformer en une sorte d’attirance. Ce n’était pas quelque chose de physique au début, mais plutôt lié à la personne qu’elle était, à la manière dont elle se portait dans ce monde.

Puis vint le deuxième rendez-vous. Un samedi après-midi, elle m’avait invité à une balade en forêt. « C’est mon havre de paix », m’avait-elle dit. Nous avons marché des heures à travers les bois, discutant de la vie, de nos parcours, de nos peurs et de nos rêves. Le cadre était parfait : la lumière du soleil filtrant à travers les arbres, l’air frais, et cette impression d’être loin de tout. Il y avait entre nous une complicité qui s’était installée sans même que je m’en rende compte.

À un moment donné, nous nous sommes arrêtés près d’une petite clairière. Elle s’est assise sur un tronc d’arbre renversé, et j’ai fait de même. Le silence de la nature nous enveloppait, et dans cette atmosphère paisible, quelque chose s’est produit. Sans vraiment y réfléchir, j’ai posé ma main sur la sienne. Elle a tourné la tête vers moi, son regard était plus intense que jamais.

— J’ai quelque chose à te dire, m’a-t-elle dit, sa voix plus douce, plus hésitante.

J’ai senti mon cœur battre un peu plus vite. J’avais compris qu’elle s’apprêtait à me révéler quelque chose d’important, et je savais, au fond de moi, que cette conversation changerait quelque chose entre nous.

— J’ai été assignée homme à la naissance. Je suis transsexuelle.

Il y a eu un court silence. Mon esprit tentait de comprendre ce que cela signifiait, mais au fond, ce qui dominait, c’était le fait que Gisèle était toujours Gisèle. Cette femme incroyable avec qui j’avais passé des moments si agréables, cette femme qui m’avait charmé avec son intelligence, son assurance, et sa sensibilité. La révélation ne changeait pas cela.

— Merci de me l’avoir dit, ai-je fini par répondre. Ça ne change rien pour moi. Tu restes la personne que j’ai appris à apprécier, et ça, ça ne se limite pas à ton passé.

Elle m’a regardé, visiblement soulagée, et dans son regard, j’ai vu de la gratitude, mais aussi quelque chose de plus profond, comme si elle m’autorisait enfin à la voir complètement. Ce moment a marqué un tournant. Après cette révélation, les choses entre nous ont pris un nouveau sens.

Ce jour-là, sous la canopée des arbres, nos mains se sont rapprochées, puis nos lèvres. Ce qui suivit était naturel, presque inévitable. Nous avons fait l’amour dans cette clairière, à l’abri du monde, entourés par la nature. C’était tendre, intense, plein d’une passion nouvelle, comme si cette vérité partagée avait déverrouillé quelque chose entre nous.

Je me souviens de ce moment comme d’une libération, pour elle comme pour moi. Gisèle n’était pas simplement une femme transsexuelle. Elle était cette femme forte, belle et pleine de vie qui m’avait ouvert un nouvel horizon, non seulement sur elle, mais aussi sur moi-même. À la fin, j’étais heureux. Heureux de l’avoir rencontrée, heureux d’avoir partagé ce moment avec elle.

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